Vivre, là
un vibrant hommage aux habitants du Mercantour
« Partis à la rencontre des habitants du Mercantour, Noëlie Pansiot et Éric Lenglemetz sont devenus des chasseurs de l’invisible. Aux témoignages émouvants répond des portraits, dont le noir et blanc révèle le caractère puissant des hommes et des femmes de ces hautes vallées. Ici la montagne résonne avec la reconquête du sauvage. Ici se conjugue le chant de la modernité, sagesse des anciens autant que désir d’expérimentation de nouveaux modes de vie » (Extrait de la postface du livre ‘Vivre, là’)
Cette célébration des 40 ans de la création du Parc National du Mercantour a donné lieu à un film, des expositions locales et à Nice, des évènements, des drapeaux en haut des cols, des portfolios, et un livre :
- Commençons par le sens du projet
- Le trailer du film de Luc Jacquet
- La montagne aux histoires – le film deLuc Jacquet
- Le final du film de Luc Jacquet avec la scène des drapeaux
- le making off du livre: En quête du supplément d’âme
- Le communiqué de presse de lancement du livre
- L’article de Nice Matin sur le livre
- Coffret pour les habitants photographiés (118 photos / 22×22)
- Le Numéro spécial de Terres Sauvages sur le Mercantour
- Un Extrait du portfolio
- Les évènements de la célébration
- La page du site web du Parc National du Mercantour
- Le programme pour célébrer les 40 ans de la création du parc
- Expo dans les rues de Saint Martin de Vésubie
- L’expo à la galerie Lympia à Nice (anciens bagnes)
- Se procurer le livre : chez l’éditeur, au Parc du Mercantour, à la FNAC
Marc, ouvrier sentier : « je me sens très humble devant la montagne et à la fois je m’y fonds. Il me suffit d’arpenter un sentier, de déboucher sur une crête et je n’ai plus envie de redescendre. Une fois en bas, l’image reste plusieurs jours en tête, je suis toujours là-haut. le corps physique est redescendu dans la vallée, mais l’esprit est là haut »
Roger, 94 ans, Pionnier du Parc : « quand j’ai eu 18 ans, mon père m’a dit : il y a une chose importante à savoir dans la vie : ne te regarde pas le nombril, parce que ça ne sert à rien. Essaye de faire quelque chose de totalement désintéressé, de manière que, dans tes vieux jours , tu puisses te retourner et voir ce que tu as construit. Alors , tu n’auras pas vécu inutilement »
Marie, Fromagère : « Pour moi, la passion, c’est aussi sentir pleinement qu’on fait partie d’une chaine qui a du sens, du début à la fin. Du coup, j’ai vraiment l’impression d’être à ma place »
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